Pour le papillon, faites attention à ne pas dire la même chose sur chacune de ses ailes.
Quant aux fleurs, traitez les comme plusieurs bouquets ; quelques fleurs vedettes dans chaque volume.
Et n'oubliez pas : c'est vous qui décidez du rendu : n'hésitez pas à déplacer le papillon pour qu'il ne soit pas complètement au milieu de votre œuvre !
Bonne semaine à vous tous.
Domi : Pour ta cérémonie du thé, tu aurais pu amener plus de profondeur, toujours en jouant sur un dégradé des valeurs.
cérémonie du thé
Enivrez-vous
Il faut être toujours ivre. Tout est là : c'est l'unique question. Pour ne pas sentir l'horrible fardeau du Temps qui brise vos épaules et vous penche vers la terre, il faut vous enivrer sans trêve.
Mais de quoi ? De vin, de poésie ou de vertu, à votre guise. Mais enivrez-vous.
Et si quelquefois, sur les marches d'un palais, sur l'herbe verte d'un fossé, dans la solitude morne de votre chambre, vous vous réveillez, l'ivresse déjà diminuée ou disparue, demandez au vent, à la vague, à l'étoile, à l'oiseau, à l'horloge, à tout ce qui fuit, à tout ce qui gémit, à tout ce qui roule, à tout ce qui chante, à tout ce qui parle, demandez quelle…
Merci Patricia d'avoir trouvé le nom de ce papillon.
J'aime beaucoup la manière dont tu as traité les fleurs.
Ce papillon ressemble beaucoup au cuivré alpin dont voici un court descriptif.